On touche aussi aux limites philosophiques de la relativité avec le problème des jumeaux de Langevin : Par une expérience de pensée, on imagine deux jumeaux : l’un qui reste sur terre et l’autre qui part dans un vaisseau à une vitesse proche de la vitesse de la lumière et la conclusion à la lumière de la théorie Einsteinienne c’est que l’un vieillira plus que l’autre, introduisant par là uen ASYMETRIE dans une situation qui en relativité devrait totalement pouvoir se décrire depuis l’un des jumeaux, comme depuis l’autre.
On me rétorquera qu’on introduit dans le système des accélérations, mais par rapport à quoi sont référencées ces accélérations ?
Tout se passe comme si les effets de relativité restreinte restaient de pures illusions « d’optique » tant qu’on introduit pas d’accélérations dans le système, mais dès qu’on introduit des accélérations, on rend objective dans la réalité ces « illusions d’optiques » spatio-temporelles et on disjoint les deux jumeaux en 2 sous-espace-temps distincts ien qu’on ait l’illusion que les 2 frères appartiennent toujours à un seul et même espace-temps.
On s’aperçoit à un moment ou à un autre de la nécessité de trouver un repère absolu pour pouvoir décrire objectivement le contenu énergie-masse d’un système qui sans cela serait sujet à des illusions permanentes dues aux changements d’état des référentiels.
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