Au plan intellectuel et moral, l’argumentation d’Aurore, Guicharmaud, Coq, Wanda et des autres victimes est imparable. Par ailleurs, leur retenue, leur courage, l’acuité de leur analyse, forcent le respect.
Or les détracteurs de l’article s’ingénient à les ignorer en persistant dans des démonstrations jargoneuses pseudo-psychanalytiques et idéologiques risibles si le fond n’était aussi grave (la victimisation est la sacralisation de la victime !). Car, que l’on soit pour ou contre la prescription, la décence exige des débatteurs anti-prescription une attention particulière à la position de ceux qui ont souffert et continuent de souffrir, non dans une optique compassionnelle, mais au strict plan du débat d’idées.
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