Bonsoir :
« ... nous parlons de modifier les lois d’une nation entière : ça ne doit pas être pris à la légère et les mots utilisés doivent être pris avec une immense précaution... »
Nous ne parlons pas de modifier le traitement des peines, juste, et c’est énorme, de supprimer la prescription, ce qui se fait déja d’ailleurs dans certains pays sans que pour autant la notion de crime contre l’humanité ait perdue son sens, ni que la barbarie donne libre cours à son expression.
C’est même je trouve une demonstration de respect de la dignité de l’être humain que de le laisser s’engager dans le dure combat de l’action en justice devant ses pairs et contre son agresseur.
« ...Si tout le monde était capable de réfléchir et de dialoguer comme vous l’êtes, vous pensez bien que le monde tournerait infiniment mieux. Malheureusement ce n’est pas le cas : la personne moyenne qui entend dans un médias les mots »enfant pur et innocent« , »viol« et »pervers« accolés les uns aux autres, ça lui donne des envies de torture et de meurtre... »
Et malheureusement ce n’est pas le cas, c’est ainsi que de nos jours toute forme de violence est systématiquement minimisée par nos médias pour ne pas affoler une sociéte qui ne sait plus remettre à leur place les agresseurs qu’elle a engendrée.
Ceux ci n’en sont d’ailleurs plus, ils sont justes des personnes faibles et iresponsables ayant derapées, c’est ainsi qu’en toute impunité et dans l’indifférence totale des jeunes filles sont « banalement » violées dans des caves par exemples.
Ou que par « jeu » sans conséquence ou simples réglement de léger différents « familliaux » des lieu d’habitations sont incendiés.
Un pére ayant incestué son enfant n’est qu’un adulte ayant eut un geste deplacé.
Appellont un chat un chat, un criminel un criminel, une victime une victime, ne faisont pas de demies mesures.
Pour ma part, je considére que la pédophilie incesTueuse est l’une des plus grave atteinte que l’on puisse faire contre l’être humain enfant, et donc contre le futur adulte batisseur de la sociéte à venir.
Arrêter se fleau passe aussi par la nommination du drame et de ses acteurs le crime, les victimes et les agresseurs.
Interdire à une victime de nommer le drame qu’elle a subit, l’empêcher d’être reconnut comme victime c’est aussi minimiser le drame et protéger l’agresseur. Finalement empecher la lutte contre ce fléau, c’est en quelque sorte aussi le cautionner et favoriser sa propagation, la sociéte s’en portera d’autant plus mal je crois.
Et le crime contre l’humanité se fera de plus en plus flagrant.
JF LECLUSE
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