Je reprends d’un message plus haut : « Nous parlons ici de VRAIES victimes, de victimes de ce qui peux arriver de pire à un enfant avant la mort... »
J’aimerais précisé que pour ma part la mort m’aurais arrangé, je ne sais pas si la mort n’est pas une délivrance après des années de viols, de maltraitances, de ménaces etc. Je n’aurais plus vécu les violences d’un pédophile et les violences conjugales avec viols d’un ex-mari, je n’aurai plus souffert, parce qu’à un certain moment on en peu plus.
A quoi bon vivre quand on est mort à l’intérieur ?
Elisabeth B.
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