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easy easy 15 octobre 2011 20:49

Il existe de réels problèmes pour les femmes qui veulent les places occupées jusque là par des hommes.

Pour autant, exhiber des statistiques très horizontales (total u nombre d’homme Vs total du nombre de femmes qui...) c’est une tromperie.

Car en amont de toute cette question, il faudrait déjà établir qu’il y a autant de femmes qui en veulent que d’hommes qui en veulent de ces responsabilités.


Il n’est qu’à regarder de qui se passe chez les célébrités des affaires.
Lorsque Bocuse s’est défoncé, où était sa femme qui avait pourtant accès à des postes d’importance ? (Car dans le même temps Nadine de Rothschild, elle, de basse extraction, en voulait et elle a bossé aux affaires quasiment plus que son mari)
Lorsque N Saorkozy bouffait du lion, que fasait sa femme, la première comme la seconde, alors qu’elles n’étaient pas interdites de hautes responsabilités.
Lorsque Jacques Dessange a bossé 70 h par semaine, que faisaient ses première et seconde seconde épouses, alors qu’elles avaient toutes les possiblités de prendre des responsabilités ? (La seconde était carrément une stricte fêtarde et voleuse)
Et la femme de Tapie et celle de MIchelin, de Renault, de Bouygues, de L’Oréal...


Il faut en examiner 1000 des cas d’hommes d’affaires célèbres pour trouver une épouse qui s’est défoncée pareillement.

Pour autant que la situation de ces hommes à hautes responsabilités représente un idéal que chacun tente d’atteindre, il faut alors comprendre que mutatis mutandis, il se passe la même chose dans les couples moins célèbres ou moins riches.

Il y a une foutitude de raisons qui font que les femmes en veulent moins que les hommes, surtout quand elles sont mariées car, par essence, une femme célibataire sera souvent plus battante.

Ainsi, il est trompeur, volontairement trompeur de brandir des statistiques trop horizontales pour poser que la femme est globalement une victime de discrimination, qu’on lui fermes les accés aux postes importants.

Si l’on veut plaider la cause de la femme en l’endroit où elle est dicriminée, il faut s’en tenir au cas par cas. Il ne faut pas chercher à impressionner, à jouer de chiffres hystérisant qui semblent probants alors qu’ils ne le sont pas. On doit prendre un cas de figure précis où une femme souffre d’un barrage sexiste et l’exposer ( ca ne manque pas. On n’a que l’embarras du choix) 
On fera alors une mise en débat honnête.

Sinon, si l’on en reste à votre méthode, on verse dans l’imposture sous couvert de victimisation automatique.

 


A part ça, étant donné ce que nous constatons concernant l’éducation ou le comportement des enfants ; vu que les enseignants se plaignent que les parents se déchargent de leurs responsabilités éducatives sur eux, il faudra bien réagir à ce foutoir un jour ou l’autre non ?

Et on réagira comment sinon en invitant un des parents à s’occuper de plus près des enfants ?
Quel parent alors, le père ou la mère ?
C’est le père qui va rester à la maison et gérer le domestique pendant que sa femme va faire le docker, le plombier, le gaineur, le coursier, le chapentier, le couvreur, le maçon, le routier, le marteau-piqueur, l’éboueur, le brancardier, le policier, le CRS, le soldat ?
vraiment ? Les filles aiment ces boulots autant que les garçons ? Vraiment ?
La bonne blague !

Nous sommes cul par dessus tête et il serait temps qu’on cesse de dénier nos différences naturelles.
Acceptons toutes les exceptions, acceptions tous les cas singuliers, ne discriminons aucune volonté et cessons de tout normalister, de tout uniformiser, de tout unisexer car c’est folie.


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