@amipb
Je suis d’accord avec lesTOUS les points que vous soulevez et qui mettent en cause d’ autres graves dérives industrielles, autre que l’hydrogénation, et que l’homme a fromentées dans son cerveau de comptable profiteur par souci, hélas, de rentabilité au détriment de la santé publique, comme le scandale de la farine animale qui, rappelons-le, a donné lieu à l’ Encéphalopathie spongiforme bovine (l’ESB), alertant la communauté scientifique en novembre 1986, lorsqu’une forme de maladie neurologique jusque là inconnue est apparue chez les bovins au Royaume-Uni.
Transmissible à l’homme, en mars 1996, on a noté des lors une nouvelle forme de MCJ, variante de la maladie de Creutzfeldt-Jakobd qui, contrairement aux formes classiques, a affecté des patients plus jeunes (âge moyen de 29 ans, contre 65 ans) et qui s’associait en effet fortement à une exposition à l’ESB, par l’alimentation.
Oui, oui et encore oui... le scandale est bien présent dans des pratiques illogiques et d’une irresponsabilé totale encore une fois au profit... du profit, de donner à manger à des animaux herbivores... de la viande !!!
Vrai pour le faux sucre (cancérigène)
Vrai pour les excés de sel, cause d’hypertension et de sucre rapide, trop rapide ! ( cause d’obésité, etc.)
Vrai pour tout le reste !
Mais dans votre dernier commentaire sur les engrais bio qui ne sont quasiment jamais des matières fécales , le site (assez genial en effet et qui mérite d’êter cité, futura-sciences.com ) indique quand-même que « certains engrais bio proviennent de l’utilisation, par certaines industries agroalimentaires, de résidus animaux(...) et qu’ils sont excellents pour fertiliser un jardin ».
Et le site... cite, en engrais bio le « Guano du Pérou » , ce « fertilisant provient des fientes d’oiseaux peuplant les roseaux d’îles situées en Amérique du Sud. Il est très riche en azote et en potassium. Il est utilisable toute l’année et pourra être apporté en couverture quand vous aurez bêché, avec son enfouissement par ratissage. Dissous dans l’eau, vous pourrez aussi l’employer avec avantage dans la culture des fuchsias, des pensées et de bien d’autres fleurs, à raison de 1 à 4 kg par 100 l d’eau, selon la rusticité de vos végétaux. Profitez autant que possible d’un temps pluvieux qui fera disparaître, dans le cas d’un produit non déshydraté, son odeur au plus vite ».
Merci pour votre commentaire, en tout cas qui enrichit le débat.
Bien à vous,
Florence
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération