Moins 50% sur la dette grecque pour sauver l’euro mais aussi une technocratie à la dérive, l’heure des soldes a sonné mais aussi celle des comptes. De plan de sauvetage en recapitalisation, les solutions proposées consistent à compenser les investissements effectués par le système financier, au moyen essentiellement de fonds procurés par la création de nouveaux impôts et/ou la diminution des dépenses publiques. En vérité, nous assistons à une sorte de « chaîne de Ponzi » institutionnelle. Ne pouvions-nous pas rester à l’ECU (European Currency Unit) qui était l’unité de compte de la communauté européenne avant l’adoption de l’euro ? En toutes choses, il existe des avantages et des inconvénients mais à l’évidence un système de changes flottants auraient évité bons nombres de déboires. Les bâtisseurs européens n’admettrons jamais que leur architecture ne repose sur de bonnes fondations. Langue de bois et mensonges font l’apanage de ces incapables au service d’une caste de vampires apatrides.
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