« On leur donne de l’argent, on efface la moitié de leur dette, mais les Grecs refusent tous ces cadeaux par un référendum ? On dirait une farce absurde », déplore Mladá Fronta DNES, qui anticipe une faillite définitive de la Grèce dans les prochains mois. « La réalité économique ne se soumettra pas au diktat de l’Etat, ni à un plébiscite ou un référendum. La situation économique existe, elle peut seulement être masquée, repoussé, niée ou falsifiée. »
Aujourd’hui, « la dette impersonnelle » de l’Etat grec, que personne ne veut assumer, est devenu « un politikum », un objet que l’on utilise à des fins politiciennes, estime le quotidien tchèque. « Les Grecs ont désormais une seule solution : falsifier les résultats du référendum selon le désir de Bruxelles. »
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