Bonjour l’auteur,
très bon article. Juste une remarque. Vous vous focalisez sur Sarkozy, mais c’est toute la clasee politique française qui ne dit mot sur cette Europe hérétique. Mario Draghi président de la BCE ? Personne ne moufte... Pourtant il y aurait de quoi se mettre en avant pour une élection à dénoncer cet individu.
Qui finance les campagnes de nos candidats « naturels » UMPS ? Ceux-là même à qui l’heureux élu promet un retour d’ascenseur. Le pouvoir ils ne l’ont plus par ce qu’ils l’ont abandonné aux oligarques financiers.
Et le Papandréou ? Je ne comprenais pas le timing de son annonce de référendum. Après avoir dépecé la Grèce et vendu son patrimoine à des hedges funds, il eut comme un sursaut démocratique. Branle-bas de combat dans les médias qui nous ont inondé avec cette information, qui finit malheureusement en queue de poisson. Pendant ce temps la société de courtage MF Global faisait faillite suite à des malversations scandaleuses. Et pas un mot plus haut dans les médias, juste quelques lignes par ci par là. Je comprend mieux ce retournement de veste de la part du traître grec, focaliser l’opinion publique sur un faux problèmes : en ces temps électriques, une couverture médiatique plus large de l’evenement MF Global aurait était comme une étincelle dans ce champ inondé d’essence.
Notre cher Papandréou est surement un agent zunien. Son éducation :
1970–1975 BA in Sociology
Amherst College, USA
1972–1973 Undergraduate studies in Sociology
Stockholm University, Sweden
1976–1977 M. Sc. in Sociology and Development
London School of Economics, UK
1992–1993 Fellow at the Center for International Affairs
Harvard University, USA
2002 Honorary Doctorate in Law
Amherst College, USA
Il y a de quoi se poser des questions.
Le mal du siècle est la finance dérégulée, la finance folle (pas la finance en général).
Et cela à part les promesses que nous font nos candidats nous attendons toujours les actes.
Mais vous savez ce qu’on dit, les promesses n’engagent que ceux qui les croient.
« Lorsqu’un gouvernement est dépendant des banquiers pour l’argent, ce sont ces derniers, et non les dirigeants du gouvernement, qui contrôlent la situation, puisque la main qui donne est au-dessus de la main qui reçoit. L’argent n’a pas de patrie ; les financiers n’ont pas de patriotisme et n’ont pas de décence leur unique objectif est le gain. »
N. Bonaparte
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération