Il semble n’être venu à l’idée de personne que la Grèce actuelle n’est peut-être qu’un laboratoire dans lequel est testé le niveau de servilité des peuples européens actuels. Par servilité, il faut entendre la soumission des Européens de souche (moins nombreux, beaucoup moins nombreux qu’on ne le pense généralement) à des pseudo-élites ethniquement non européennes qui, en vertu d’affinités électives, importent autant de leurs congénères que possible sur le continent européen, afin de noyer définitivement la civilisation européenne dans l’« égout racial » qu’appelait de ses voeux Lénine et que les Etats-Unis ont réalisé depuis. Le parti anti-immigrationniste grec fait 5% à Athènes.
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