L’auteur parle en disant « nous ». Qu’il s’inclut dans le « nous », je n’y voit aucun inconvénient mais personnellement je n’ y adhère pas.
Dans le « nous » qu’elle est la proportion de gens qui détiennent les ficelles de l’ économie à travers le temps ?
A t-on laissé le choix aux paysans en France et dans le monde ? A t-on laissé le choix aux artisans, commerçants et autres travailleurs indépendants ?
L’article est écrit comme si il n’ y avait pas d’un coté la minorité de propriétaires qui détiennent la finance et de l’ autre la grande majorité qui est subordonnée à cette minorité.
Nous sommes dans une civilisation où le droit de la propriété est sacré, plus sacré que la vie des humains et de la nature.
Tant que le droit de propriété est illimité, c’est un des aspects de ce droit, ne sera pas remis en cause, effectivement l’ avenir des nouvelles générations est plutôt sombre pour la plus grande majorité de celles-ci.
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