Zut, j’ai fait une fausse manipulation. Je reprends :
Le profil idéal du client rentable pour une banque est celui qui dégaine la carte bleue pour toutes les menues dépenses, en raison des frais qui lui seront facturés, ainsi qu’au commerçant.
Mais, aussi le client négligeant qui ne fait pas ses comptes et dépasse le découvert autorisé ce qui lui vaut des frais bancaires, et à un taux usurier s’il n’a pas préalablement négocié le taux avec le banquier avant le découvert.
Les chèques sans provision font aussi l’objet de frais, s’il ne sont pas régularisés dans les délais !
Mais, les banquiers sont retors et inventent des frais qu’ils retirent sur des comptes bien tenus lorsqu’il n’y a aucun incident bancaire. Ces frais ne sont absolument pas transparent et le client n’en est pas informé.
Il est plus facile pour un banquier d’exercer « son art » face à un client qui présente des vices de comportement, cela lui permet, sous couvert de paternalisme, de justifier des frais exhorbitants qu’il lui soutire.
La tâche est moins aisée avec les clients vertueux auprès desquels ils ne peuvent jouer les pères-moralisateurs.
Et enfin pour conclure : si les banques sont aussi puissantes, c’est parce que qu’à l’origine, les Etats ont eu besoin des banquier qui sont de précieux collaborateurs. Les banquiers sont les délateurs des clients auprès des Etats et du fisc qu’ils renseignent sur les comptes et les habitudes des clients.
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