Ce petit pervers, fils de prof (droits-de-l’hommiste ?) et donc plus protégé qu’un délinquant-lambda a pu récidiver et aller au bout de son fantasme avec la complicité passive de ses parents, des « experts-psys », de la justice et de la direction du lycée. Je ne comprends pas qu’un directeur à qui des parents confient que leur fils a fait 4 mois de préventive n’en demande pas le motif. Même s’il n’en a pas le droit.
Quand aux belles âmes qui s’émeuvent à l’idée que le chérubin ait eu, même partiellement, ses chances de réussite amoindries s’il avait été incarcéré, ELLES ME DONNENT ENVIE DE VOMIR.
Remarquons aussi la tartufferie de l’établissement qui s’est empressé d’apposer une plaque à la mémoire de la victime, mentionnant « décédée » et non « assassinée ». Elle est morte ? Vite, tournons la page. Quelques larmes de crocodile, quelques postures affligées, les affaires continuent....
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