Villepin : la cla-sse. Il est (super) grand. Il porte un costume sombre d’un effet époustouflant (moi, ça me bluffe. J’suis petit. J’habille mes p’tites pattes en Kenzo - parfois - mais ’y a pas. C’et pas pareil). Et il aime les mots. Bon, parfois, ça dépasse un peu l’effet escompté. Mais c’est ça l’improvisation de l’acteur. Les risques, les risques...
Aux pisse-froids du début - tu sais, ceux qui trouvent que ce spectacle est mauvais pour l’éducation de leurs blondinets : qu’ils aillent brouter les pissenlits bio dans le Limousin. Luxe, calme (stop-là).
Villepin PRESIDENT.
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