Je vous remercie de la façon réaliste dont vous abordez la question. Je crois pour ma part qu’il est urgent d’aller beaucoup plus loin
Il est bien évident que les banques et fonds financiers freinent à cette annulation à cause de la perte qu’elle représente pour eux. Mais les États la refusent aussi parce que bien évidemment dans l’avenir ils ne pourront plus s’endetter (un âne ne tombe pas deux fois dans le même trou). Ce qui signifie qu’ils ne pourront plus disposer de la même marge de manœuvre. Ce que j’ai essayé d’exposer dans mes articles sur le sujet, c’est que la question est bien plus grave qu’un problème de respect d’engagements. Les États depuis des siècles ont remboursé en monnaie de singe... ce n’est pas neuf. Ce qui est neuf, c’est que depuis un siècle TOUTE l’économie MONDIALE repose entièrement sur ce mécanisme d’endettement. C’est devenu le NERF, l’ÂME, le MOTEUR.... je ne sais quel terme ajouter. Et si on n’a plus ce moteur là, sur quoi va-t-on fonctionner ?
La question est d’autant plus cruciale, HISTORIQUE, que le monstre de l’endettement généré en un siècle empêche aujourd’hui tout fonctionnement. C’est le crash ou le dépérissement...
Maltagliati
ps Mon article sur Agoravox en décembre s’intitulait
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