la bonne sœur n’a pas lu ça
L’amour pour un dictateur
Rappelons ici la célèbre phrase d’Ibn Khaldoun :
“les arabes se sont entendus pour ne jamais s’entendre”.
Apparemment, la caractéristique des arabes est l’existence de problèmes dès qu’ils sont plus de trois. Cette vision est sans aucun doute exagérée, et loin d’être propre aux arabes. Toujours est-il qu’il est risible d’entendre que non seulement l’écrasante majorité du peuple syrien aime Bachar, mais en plus qu’ils l’aiment de la même intensité, c’est à dire à en mourir.
C’est d’ailleurs ce qui extrêmement frustrant avec les proBachar, ce déni constant de la réalité doublé d’un prolongement de la dictature : Ne pas aimer Bachar est en soit une faute grave qui fait de vous potentiellement un traître.
Alors, la prochaine fois qu’on tentera de vous parler de tout sauf des syriens, refusez la stratégie de diversion !
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