La patronne du FN joue la carte de la victime. Banal ! Et si elle faisait l’impasse ?
PARIS Plus de 30 ans que le FN joue le même refrain à l’approche de la présidentielle. Depuis 1981 et ses grands débuts dans la course à l’Élysée, le Front national, propriété de la famille Le Pen, menace de ne pas être présent le jour du premier tour par manque des 500 voix d’élus nécessaires à tout candidat voulant participer au scrutin.
Le Pen a connu ce souci en 1981, mais le FN balbutiant de cette année-là n’avait rien de commun avec la formation actuelle. Depuis, à chacun des rendez-vous, le patron du FN a pourtant brandi la même menace.
À chaque fois, Jean-Marie Le Pen affirmait être parvenu d’extrême justesse à réunir les 500 signatures malgré la pression des grands partis. Une formation d’extrême droite jouant la carte de la victimisation, c’est aussi banal qu’un parti communiste citant Marx. À tel point que cette année, quand c’est Marine Le Pen qui joue cette partition, personne ne veut y croire.
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> video explicite sur la manipulation populiste de la victimisation du FN
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