Très bel article assurément et je l’ai apprécié, mais permettez moi cependant de trouver qu’en se laissant un peu trop aller à des analyses et dissertations philosophico-politico-economico-financières on oublie un peu que pour s’en sortir, il faudra que chacun y mette un peu du sien. Et tout ce que l’on peut raconter sur la crise grecque, dont je ne conteste pas la justesse, ne changera rien au fait que cette nation ne produit pratiquement rien de ce dont elle a besoin ni qu’elle pourrait échanger. Sans arrêter de lire et d’écrire sur Agoravox je vous suggère de ne pas oublier, dans les prochains jours, de prendre un peu d’exercice en labourant votre pelouse afin d’y planter des pommes de terre et des haricôts, à toutes fins utiles...