Avant de dire ce que me suggèere la photo, je devrais savoir qui est le personnage qu’elle représente. Peut-être ne s’agit-il que d’un comédien jouant le rôle d’un sdf et je n’ai pas pour habitude de m’émouvoir pour de la fiction...
S’agissant des authentiques sdf, je suggérerais de commencer par faire un recensement de ceux qui expriment l’intention de s’en sortir. Ceux-ci devraient se présenter spontanément à la mairie du lieu où ils résident habituellement. Ensuite, j’étudierais la possibilité de créer des « Ateliers Nationaux » dans lesquels seraient manufacturés des produits dont la fabrication a d’ores et déjà été délocalisée dans des pays du tiers monde. Les sdf y seraient nourris et logés et ils recevraient un salaire très modeste, permettant d’offrir des prix compétitifs sur le marché intérieur. Ces ateliers permettraient aux sdf de retrouver une dignité, un rôle dans la société et le goût de l’effort. Les sdf en sortiraient soit par le bas - renvoi pour les asociaux ne manifestant aucune prédisposition pour une activité régulière rémunérée - ou par le haut - orientation vers des activités plus conventionnelles, et beaucoup mieux rémunérées, pour ceux qui possèdent des aptitudes, des connaissances, un savoir, une expérience ne trouvant pas à se réinvestir à partir du statut de sdf. Le suivi des sdf par des spécialistes devraient permettre de récupérer des compétences actuellement inemployées. Afin de ne pas constituer un appel d’air pour l’immigration clandestine, l’accès aux Ateliers Nationaux devrait être strictement réservé aux citoyens français nés de parents français.
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