Au risque d’en surprendre plus d’un, les instances de l’UE savent que le traité de Lisbonne est mauvais et pas du tout appliqué.
En réalité l’UE est monté de telle manière qu’en fonction de l’intégration de tel ou tel pays, ces organismes montent des cellules pour avancer sur des sujets structurants.
Concrêtement ces instances veulent renforcer la cohésion entre les pays qui le désirent vraiment dans le sens anti-anglo-saxon.
Les eurobonds sont une première étape, et en // la création de l’euroland, arme de destruction massive contre Wall-street et la Cyties.
Biensur les anglais sont farouchement opposés mais désormais l’Euroland s’assoie sur leur avis.
Nous sommes en période de transition qui depuis 40 ans a vue l’UE s’enfoncer dans des élargissements qui les ont affaiblie, l’épisode Ukraine et Turquie, idées des américains pour les affaiblir encore plus.
Désormais grâce à la guerre des monnaie instillées par l’empire, l’UE a décidé via une nouvelle frange de dirigeant de prendre les taureaux par les cornes.
Pour ce faire ils doivent se débarasser des atlanto-conservateurs, vieille garde qui mine l’évolution de l’eurolande.
NS est de cette clique de personne qui a un pied US et UE, ce n’est plus vivable, mais l’histoire va se débarasser de lui et de tous ses congénères pour laisser progressivement place à des dirigeants dit « erasmus ».
Ainsi après la mise en place du nouveau système financier et la confiance à nouveau de l’Asie et du reste du monde (surtout pays exportateurs), une politique de restructuration sera entrepris dans l’UE comme pour l’époque de la CECA.
Des politiques de grands travaux seront entrepris, harmonisation fiscale etc ... et enfin démocratisation des instances de l’UE.
La Grèce ne doit pas quitter l’Euro, ce sont ses dirigeants qui doivent disparaître au profit de personne beaucoup plus intègre. Cette crise a pour seul but de sortir du bois l’ancienne garde qui complotait contre les européens (tous les peuples).
Les dirigeants grecs actuels n’ont plus le soutien des instances de l’UE, et pour accélérer le renouveau un bras de fer est nécessaire, car ils ne partiront pas de leur propre chef.
Avoir pris dans ces conditions la Grèce fût une erreur mais elle a l’avantage en faite d’assainir toutes les institutions des pays de l’UE. Les vieilles habitudes vont disparaitre pour laisser place à de nouveau dirigeant plus européen qu’atlantiste.