Vous déclarez trois modèles : « modèle à trois parties : la société civile (à travers les associations), les entreprises, et les personnes publiques (les collectivités territoriales et l’Etat). » Pourquoi pas ? Cependant il faut inclure l’aspect économique, les financements (qui paie pour quoi ?) et surtout l’évaluation marchande de ce qu’on va mettre en oeuvre. Sans unités de compte (qu’est-ce qui coûte quoi ?), on passera directement à la saisie de ce systême ternaire par les marchés tout puissants, et bon nombre de projets avorteront. Les estimations sur les coûts de conservation de l’environnement, pour ne citer que ceux-là, sont encore embrionnaires, sauf pour les grands désastres (entendez grands chantiers déjà montrés du doigt).
La démocratie, d’accord. Mais la finance la pervetit entièrement. Il faudrait aussi des décideurs nommés en raison de leurs compétences, de leur expérience, de leurs mérites et de leur intégrité. Voter sur la base d’une présentation séductrice, d’alliances, de démarches occultes (lobbies), etc. n’a pas de sens. Le nombre de participants n’est pas, et il s’en faut, garante d’une bonne décision. Regardez ce qui se passe autour de vous.
Quitte à aller à contre courant des idées reçues, je préfère l’aristocratie, au sens d’aristos, excellence, aux pétaudières et aux pantalonnades actuelles. Une aristocratie basée sur le mérite et le talent reconnus. Le vote de gens quasi-illettrés ou complètement « brain washed » (lavés du cerveau) n’a pas de sens. Ce vote donne libre cours aux pires dévoiements.
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