Juste un témoignage.
Un jour, stage socio pro sur conduite de réunions, l’animateur parle du théorème d’incomplétude de Gödel. Stupeur ! J’avais fait math spé M’, su démontrer E = MC2 avec une craie et un tableau noir mais jamais un prof n’avait fait allusion à Gödel.
Le déclic. Si la raison a des limites alors il y a une place pour Dieu !
Jusqu’alors, je ne comprenais pas l’intérêt du concept de Dieu. Faire appel à l’inexplicable pour justifier l’inexpliqué, quel intérêt ? Suffisait d’être patient, un jour le monde serait compris et plus de nécessité de ce Dieu qui par ailleurs servait à exploiter les ouvriers n’est-ce pas ?
Je cherche des livres sur le sujet et découvre celui d’Hofstader. Première lecture, je sens le puissance de ce livre mais n’en comprends que 10%. Seconde lecture, et « je passe de l’autre côté du miroir »...
Je choisis de croire en Dieu comme vérité indémontrable indispensable à embrasser le monde.
Je choisis de dominer mon cortex et de le faire dialoguer consciemment avec le coeur, tout en ne négligeant pas un autre organe lui aussi indispensable.
Et la réalité me conforte dans ce choix. Des choses non partageables et non reproductibles se produisent que je ne comprendrai, éventuellement, qu’après ma mort.
Pour finir, je recommande un excellent livre en complément des Brins de la Guirlande Eternelle, « Dieu et Moi » d’Huxley.
A l’auteur : je vais sur votre site. A très bientôt.
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