« Le premier - le plus fort -, étant celui de l’amertume : trente ans après une étude magistrale qui avait marqué son temps et mis en déroute poncifs et lieux commun concernant l’identité française... »
Ils sont rigolos, les gauchos... Ils sont définitivement incapables de comprendre que les questions d’identité et d’appartenance sont du domaine des sentiments - le racisme aussi, soit dit en passant - et que la raison n’y peut rien.
Qu’est-ce qu’il en a à foutre, le Français attaché à la France que Marine Le Pen saluait hier, à Châteauroux - avec des accents qui sont interdits au cosmopolite issu de l’immigration Sarközy et à l’internationaliste Hollande -, d’être aveugle « à la subtilité et à la vérité du génie national qui combine unité du projet et gestion pragmatique de diversité » ?
S’il ne se limitait à un haussement d’épaules, il pourrait aussi demander, ce Français, quand est-ce que la France a géré pragmatiquement la diversité et sous quels gouvernants ?
Parce que cette gestion, moi, je ne vois pas en quoi elle a consisté, si ce n’est dans l’attente du phagocytage des immigrés par la population de souche, avant de déboucher sur la croyance insensée que le processus allait se reproduire, tout pareillement à l’insu du plein gré des de souche, avec des millions d’étrangers alterculturels et allogènes.
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