Avec les politicards, qu’ils soient libéraux ou marxistes, tous agents et vecteurs de la subordination pandémique du politique à l’économie qu’ils sont, c’est le ventre - c’est-à-dire, analogiquement, l’économie - qui est au pouvoir.
Avec un certain nombre et même un nombre croissant de politicards dskanniens ou dskannisants, qu’ils soient libéraux ou marxistes, le pouvoir descend au-dessous de la ceinture.
Avce le nouvel opium du peuple qu’est le football, on descend encore plus bas, si possible : le pied prend le pouvoir. Il va de soi que le pied prenne le pouvoir dans une société qui marche sur la tête.
Que le sport ait pu devenir un métier ; qu’un être humain puisse gagner de l’argent grâce à ses seuls pieds ; qu’on ne trouve rien à redire au fait qu’on puisse gagner sa vie grâce à ses seuls pieds ; tout cela est symptomatique du stade final de la dégénérescence d’une société à l’agonie où tout, absolument tout - des valeurs aux relations et aux rapports - est inversé - au profit des pires.
A l’aristocratie - le gouvernement des meilleurs - s’est substitué la kakocratie : le gouvernements des pires. A la tête, les pieds. A l’honneur, les odeurs.
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