«  » d’après vous un ouvrier serait forcément illettré ?" Quelle remarque mesquine et prévisible, grandvince ! Il se trouve que je fais partie d’un club à majorité composé de jeunes ouvriers... Sûrement pas vous. Ils font plein de fautes d’orthographe, pas vous. Ce sont des gens biens que j’aime beaucoup, humains, intelligents, pauvres, à l’écoute, plein d’humour et dont certains iront loin justement parce qu’ils sont autodidactes et intelligents. Pas vous. Vous voyez qu’il est impossible de vous confondre avec un ouvrier !« 

Vous vous justifiez de manière lamentable d’une pique acerbe à l’encontre des ouvriers, et c’est moi qui suis mesquin ? Et bien je vous trouve gonflé, bientôt vous allez nous dire qu’en tant que frontiste, vous avez une pléthore d’amis issus de l’immigration ? Et la marmotte... enfin vous connaissez la suite.

  »« je suis technicien de maintenance informatique ». OK, dans quelle société SVP ? Si vous ne pouvez me donner votre nom, vous le courageux qui se cache derrière son pseudo, vous pouvez tout de même avoir la fierté de m’annoncer dans quelle société vous travaillez ?« 

Vous prouvez une fois de plus ce que je disais plus haut concernant vôtre méconnaissance d’internet et de ses pratiques, cependant je vais vous donner un indice, posez-vous la question suivante : »pourquoi suis-je le seul à poster avec ma véritable identité et ma photo ?« Et ne venez pas me parler »d’honnêteté intellectuelle« , j’y vois plutôt un besoin inassouvis et désespéré de reconnaissance.

  »Ceci dit, je vous préviens, si vous continuez à m’accabler de vos commentaires n’ayant plus aucun rapport avec mon article et polluant ce forum, je serai obligé de demander votre blocage. Aussi, si vous souhaitez malgré tout vous offrir ce petit plaisir, je vous invite à correspondre avec moi en privé : [email protected]."

Demandez mon blocage si ça vous chante. Autant vous le dire, si vous croyez me punir, en réalité vous me faites plutôt rire. Vous me faites penser à un enfant cruellement dépourvu de répartie, qui va se plaindre à la maîtresse que ses petits camarades le chahutent un peu trop.

Quand à correspondre avec vous en privé, je n’en voit pas l’intérêt, vous êtes campé sur des positions que je trouve indéfendable, et il est tout à fait clair que ce n’est pas près de changer.

Sur ce je vous souhaite tout de même une bonne continuation, et j’espère sincèrement, même si j’ai peu d’espoir, que vous finirez par changer votre fusil d’épaule, cela vous ferait le plus grand bien.

Au revoir.