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eric 5 mars 2012 11:44

Notre principal problème démocratique ? 57% de PIB dépensé par l’État. 90% de mesures votées. C’est à dire ou ce ne sont pas les élus qui décident, donc le peuple, mais les « partenaires sociaux », en gros le 8% de syndiqués eux même financés par l’État, essentiellement membre des services publics et des grosses entreprises stables à statuts protecteur. Le résultat ? Un immense brassage d’argent au sein de la classe moyenne ou en gros les clientèles de gauche s’en tirent mieux que celles de droite, le tout aux détriment des plus pauvres et avec des frais de fonctionnement les plus élevés de l’OCDE. Redistribuer un euro a un cout de un euro.

Dés qu’il y a une réforme a faire, cette véritable classe sociale qui à la fin finit par tirer ses revenus plus de son action politique que de son travail, descend avec succès dans la rue. Le résultat des courses est toujours le même. Les autres payent le coût de la réforme, et elle s’en sort les plumes sèches tout en proclamant qu’elle défend les pauvres. Pour la retraite cette catégorie a vu sa situation s’améliorer avec la réforme....

Des preuves ? 2002 cagnotte fiscale : 11 milliards de ff de baisse d’IR pour cette catégorie. 5 fois le bouclier fiscal. 500 millions pour les pauvres ( politique de la ville). Moins de 100 millions d’euro.
On a pas besoin d’une nouvelle constitution, on a besoin que nos dépenses publiques servent au pays et aux pauvres et plus à une caste. Pour cela, il faut poursuivre les réformes, et quand ces prédateurs veulent faire régner leur loi dans la rue, organiser des référendum.


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