C’est une triste journée ; la bande dessinée perd l’un de ses plus grands maîtres. Le talent de “Jijé”, le soin qu’il apportait à ses dessins n’ont jamais cessé de m’impressionner.
Cela dit, attention aux approximations : aucun scénariste, à mon avis, n’a jamais pu égaler ni même rivaliser avec Charlier. Les
Blueberry d’après Charlier n’ont à mon avis aucun intérêt. Ce qui nous mène jusqu’à « Arizona love », inclus (n° 23).