La dernière fois que j’ai vu Bayrou, c’était justement à la manif pour le jeune qui avait été torturé par le gang des barbare. Comme on discutait avec Finkelkraut, on l’avait pas vu, il est venu nous saluer. Après il est reparti avec son grand garde du corps en train de se regarder regardant si on le regardait en tournant autour du cortège et en faisant des vas et vient.C’est dans l’ensemble un politicien comme les autres ; Quoi qu’il y en avait aussi quelques autres qui restaient sagement et anonymement dans le cortège.
Sa position sur cet évènement me paraît parfaitement défendable. La version Melechon me parait plus percutante.
Maintenant vous savez très bien qu’un Président de la république n’a pas beaucoup le choix face à un évènement de ce type.
Ceux qui sont vraiment des guignols c’est effectivement Hollande et Joly. Mais on t ils eu même le choix ? Du reste qu’est ce que cela veut dire, quand on lit l’éditorial du NO qui est un titre qui appartient à des gens qui sont officiellement dans le staff de campagne de Hollande ?

Mais ce ne sont pas les pires ; Il y a ici toute une bande d’allumés hypocrites qui font mine de croire qu’il y aurait une manipulation derrière ces meurtres. Ils n’en croient pas un mot, sinon, il seraient évidemment dans la rue avec leur fusil en train d ’essayer de descendre le Président. Vous, vous sauriez qu’un type est capable de cela, tuer des gens, des enfants, pour être réélu et qu’il tient la justice et la police, vous resteriez derrière votre écran ?
Sauf à espérer y susciter des vocations que l’on a pas le courage d’assumer soi même. Cela serait encore moins respectable.

Mention spéciale pour l’auteur, qui s’est vu signaler de nombreuses fois que le texte sur la déchéance de la nationalité a constitué un élargissement d’un texte déjà réformé par Jospin et qui était de toute façon très antérieure à ces deux hommes politiques.

Faites gaffe tous, le norvégien a commencé comme vous. Il écrivait un peu n’importe quoi par palanquées entière de façon répétitive en se montant le bourrichon, et à la fin, faute d’être vraiment écouté ou entendu, et finissant par se croire lui même il a fini par péter un câble.