Extrait de mon billet actuel : « Les médias ne sont pas indépendants ».
Avec les médias, comme intermédiaires entre politiques et citoyens, nous entrons dans le théâtre des ombres officielles.
Si les médias revendiquaient ne pas être influencés par les politiques,
cela ne voulait pas dire qu’ils n’essaient pas de tirer leurs marrons
du feu en se prêtant à une hystérisation très parcellaire des problèmes.
Sans parfois, s’en rendre compte, ils occultent des faits importants
par des faits divers ou anodins. Alors, que les faits occultés se
déroulent, à un autre niveau, dans un « tropisme parisien ». Entre "le
poids des mots et le choc des images" suivant l’ancienne formule
consacrée, il importe de créer de vrais contre-pouvoirs.