Dans les hôpitaux psychiatriques, certains malades griffonnent sur des cahiers d’écoliers des romans fleuves incompréhensibles, les psychiatres les laissent faire, cela calme leur angoisse
Une fois sortis, certains collent leurs textes photocopiés sur les arbres, sur les abris bus, comme celui qui longtemps afficha sa prose à Paris dénonçant des meurtres imaginaires à l’hôpital Marmottan
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