Emy Christoulas, la fille du défunt, a souligné que son père s’était battu contre les mesures d’austérité, manifestant avec les “Indignés” ou le collectif “Je ne paierai pas”.
“Papa, tu ne pouvais pas supporter qu’ils prennent notre démocratie, notre liberté, notre intégrité. Tu ne pouvais pas supporter l’apartheid économique et social qui nous cerne. Tu ne pouvais comprendre qu’ils aient donné notre souveraineté et les clés du pays” aux bailleurs internationaux de la Grèce, a-t-elle déclaré dans son discours d’adieu.
Markos Basioukas, du collectif “Je ne paierai pas”, lui a promis de “poursuivre la bataille”. A l’issue de la cérémonie, quelques centaines de manifestants se sont dirigés vers la place Syntagma, où des fleurs, bougies et messages d’adieu ont été déposés depuis mercredi sous un arbre à l’endroit où Dimitris Christoulas s’est suicidé.
http://journalmetro.com/monde/37464/violences-apres-des-funerailles-en-grece/
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