Il faut peut etre un peu se mettre à la place du footballeur. Je veux bien que les uns, professeurs des écoles, les autres, journalistes, se transcendent en donneur de leçon. Mais...
Zidane n’a jamais demandé à ce que les premiers le mettent sur un pied d’estale, que les journalistes, entre les 1/8 de finale et la finale, l’encensent après s’être demandés si Zidane était encore Zidane, s’il avait toujours sa place dans cette équipe de France (...). Ce match était son dernier match. Le nombre de fautes commises sur ce footballeur, quel que soit son talent, ont eu de quoi l’énerver. D’ailleurs, cet homme n’a pas pété les plombs à la 4° minute. Ni même à la 45°. Non, il a explosé à quelques minutes de la fin du match, après que ce si gentil et tellement inoffensif (!), joueur italien lui ai dit les pires choses que l’on puisse entendre. J’aimerais bien vous voir Monsieur le professeur des écoles, messieurs les journalistes. Prêts à vous faire exploser les tibias, à vous faire pousser, à vous faire cracher dessus, à vous faire traiter de tous les noms ? Combien de temps tiendriez vous, Messieurs, avant de pêter les plombs.. ?
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