En cette période de dictature des marchés et de l’esclavage de la dette, il est bon de revoir le discours sur la dette de Thomas Sankara au sommet de l’OUA en 1987 dans lequel il appelait à sa suppression pure et simple. Ce visionnaire fut assassiné trois mois plus tard.
Repose en paix, Thomas. Tes paroles ne sont pas oubliées et résonnent encore avec plus d’acuité aujourd’hui.
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