La seule peur que je connaisse, c’est la terreur hystérique que provoque les avancées de la droite nationale et populaire.
Le citoyen, lui, n’a pas peur, il rejette tout simplement le monde multiracial, multiethnique et multiculturel, dans lequel on prétend le forcer.
Il prétend être chez lui là où sont nés ses pères et ne pas avoir à subir des gens dont il ne se souhaite pas le voisinage. Que ce soit pour des raisons de moeurs, de comportements et/ou de mentalité.
Dire que tous les Français sont des descendants d’immigrés est une fourberie profondément malhonnête. Très rares sont les Français qui sont issus de lignées intégralement étrangères depuis plusieurs générations.
L’immigration indo-européenne de culture chrétienne s’est largement francisée par le mariage, ce qui ne se fait plus avec les nouvelles vagues.
Ou alors rarement et avec un divorce à la clef dans 90 à 95 % des cas - pour cause d’incompatibilité culturelle -, avec les problèmes d’enlèvements d’enfants qui font régulièrement la une de l’actualité.
Rejeter ne signifie pas avoir peur. Si je n’étais mû que par la peur, mon domicile hébergerait une proliférante colonie de cafards, voisinant avec une sympathique et grouillante population de rats.
Mais il se trouve que je n’aime ni les rats ni les cafards. Et je pense avoir le droit de m’en protéger, sans pour autant être accusé de blattophobie et de gasparophobie. Encore que si tels étaient mes sentiments, je ne vois pas qui, et au nom de quoi, on mes les reprocherait.
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