Nous consommons trop de viande. Quand l’idéal serait d’en manger au maximum 3 fois par semaine, beaucoup en mangent à chaque repas (y compris parfois au petit déjeuner.)
Quand on voit comment est nourri le bétail élevé pour sa viande, il y a de quoi s’inquiéter : farines animales, soja OGM, et j’en passe. De plus, on leur administre énormément d’antibiotiques, qui se retrouvent plus tard dans l’organisme des consommateurs. Enfin, pour des raisons de rentabilités, les animaux sont souvent élevés dans des endroits exigus et confiné, ce qui est propice au développement de germes diverses. Au niveau de l’environnement, quand on sait qu’il faut 10 kg de céréales pour produire 1 kg de viande, on peut se demander si le fait de produire moins de viande ne permettrait pas de nourrir plus de monde et d’économiser l’eau nécessaire à l’agriculture intensive qui manque parfois aux gens qui vivent dans la région car occasionnant des détournement de cours de rivière. Bref, si nous consommions moins de viande, mais de meilleure qualité, nous protégerions notre organisme de nombreux problèmes que nous n’identifions pas forcément comme tels, mais qui existent (allergies alimentaires, résistance aux antibiotiques, intoxications alimentaires, maladies telles que la vache folle,...), tout en préservant les ressources. Pourtant, ce changement n’est pas prêt de se faire, la viande étant considérée dans la gastronomie française comme le plat de base, et les légumes, négligés au rang de simples garnitures et souvent ma accommodés.
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