Si Reuters le dit...
Dans les médias, il ébauche un mea culpa sur les errements « bling bling » du début de son quinquennat. En meeting, il cogne sur François Hollande, qu’il accuse de mentir, et sur la « gauche caviar », dont il rejette les leçons -autre leitmotiv.
Mais sa campagne ne semble ne pas prendre. Il se perd dans des polémiques secondaires, par exemple sur la viande halal. Un chahut à Bayonne organisé par des militants basques et de gauche renforce le doute dans sa majorité. Les intentions de vote du premier tour, dont il espérait voir se croiser les courbes, restent favorables à son adversaire socialiste.
« Perdu dans le secondaire », ça a dû lui rappeler ses études....
Il se plaint d’avoir fait la campagne du premier tour à « un contre neuf », se pose en victime d’un « système médiatique » accusé de partialité. Il multiplie les signaux à l’adresse des électeurs du FN, tout juste atténués par des appels à ceux du candidat du MoDem, François Bayrou, et par un discours moins ouvertement adressé aux partisans de Marine Le Pen lors du face-à-face télévisé de mercredi soir avec François Hollande.
Ce débat était considéré par beaucoup comme sa dernière chance de faire la différence. Mais il n’a jamais réussi à déstabiliser son adversaire socialiste. Nicolas Sarkozy jugeait cependant jeudi l’élection plus ouverte que jamais.
Marrant, je n’ai jamais vu une AGENCE de PRESSE aussi PESSIMISTE...
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