A part le fait de rendre leurs monnaies de le pièce et de jamais céder à leur idéologie.
Car
en réalité les peuples ne sont jamais extrémistes, et quand il y a une
bouffé de fièvre ce n’est pas les extrêmes qui ramassent l’adhésion du
peuple, c’est les extrêmes qui manœuvrent pour s’accaparer le pouvoir.
Qu’elle
est la différence entre l’extrême droite et l’extrême gauche, en
matière stratégique aucune, ce sont des minorités qui par des moyens
illicites veulent s’accaparer le pouvoir.
La sagesse des peuples
ont bien comprit la leçon, quand un partie extrémiste arrive au pouvoir,
ce n’est jamais pour le bien être du peuple.
Ce qui ce passe en
Grèce, n’est que le reflet que le pouvoir c’est déconnecté des réalités
du peuple, et l’on assiste à l’affrontement deux extrémismes, l’extrémisme du pouvoir qui deviens autiste, et des minorités
agissantes car si y a l’extrême droite en premier plan, l’extrême gauche
doit probablement aussi être agissante.
En réalité si cela dérape, le premier coupable c’est l’État dans son attitude radical à être sourd à la souffrance du Peuple.
Dans ce cas de figure, l’extrémisme est le symptôme évident que le pouvoir étatique est malade !
