Ce qui est gênant, dans cette nomination de Roselmack, c’est qu’elle se soit faite aux dépens de quelqu’un d’autre, qui se fait débarquer alors qu’a priori, il faisait l’affaire, et qu’il est patent que ce soit essentiellement pour faire un « coup » ethno-médiatique. A la limite, c’est dévalorisant pour Roselmack, dont il semble admis qu’il n’ait pas besoin de ça pour briller. Alors que là, il joue le rôle du « bon noir » de service, comme dans les feuilletons américains où il en faut toujours un pour respecter les quotas. Il aurait fallu que son arrivée se fasse de manière plus naturelle, et personne n’y aurait trouvé à redire. C’est tout le problème de la discrimination positive.
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