Un million et pas 100, mais peut importe. L’argent ? Oui. Pas principalement.10 ans que l’on nous répète que cette dette n’est pas la notre. Premier poste de dérive de la dette, ses intérêts. Second poste, les retraites publiques.
Nous empruntons, pour payer nos fonctionnaires 17% de plus à travail égal, et leur financer des retraites très supérieures à celle des autres ( SNCF, 3,5 euro de retraite pour 1 euro cotisé, cadre multifonction un euro de retraite pour un euro cotisé) pendant qu’on laisse des miettes aux pauvres ( 67 milliards de budget social pour entre 8 et 11 millions de personnes concernées, 20 milliards de « déficit technique prévu en 2015 » pour les retraites de 2 millions d’agents publics. Voila ou sont les priorités « sociales » de la bureaucratie française. 1200 milliards de déficit prévisionnel dans le financement de ces retraites pour 1700 de dettes aujourd’hui . On ne nous a jamais vraiment demandé notre avis. A chaque fois, grève, manif, négociations entre fonctionnaire et syndicats de fonctionnaires, qui se traduisent par 40 ans de micro avantages pour en arriver là.
Oui, cette dette n’est pas notre dette, car avec ces deux millions d’aents publics en plus en trente ans, le résultat unanimement constaté par leur syndicats, consiste en une dégradation continue du service public. Mais ce n’est pas le plus grave. Comme ils sont trop nombreux, ils s’agitent mollement en contrôles, édictions de normes débiles ( parité, écolobiodurable, etc..., respect des genres, pour satisfaire leur ennui sociétal). C’est cela qui rend la vie et en particulier celle de l’entreprise impossible en France. Vous vous trompez complètement sur ceux qui partent. Ce sont marginalement des très riches ou mêmes des riches. Ce sont des entreprenants, des chercheurs non fonctionnaires etc... Mais surtout, des jeunes pas très riches et souvent peu diplômés qui ont une chance de faire quelque chose en apprenant l’anglais à Londres plutôt que d’émarger aux emplois jeunes et autres RSA en France. Regardez à Londres le nombre de banquier et le nombre de « petits boulots ». Éloquent. Logique. Face aux bureaucraties socialisantes, les pauvres votent toujorus avec leurs pieds....
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