Mes propos n’étaient pas du tout anti-américains : je souligne seulement cet intéressant paradoxe : d’un côté, une monnaie qui joue sur la confiance (tout billet de banque, depuis 1862, a encore cours légal ; apparence des billets qui n’avait pas changé en près de quatre-vingts ans) d’un autre, un gouvernement fédéral qui joue la monnaie comme un moyen et non une fin (décisions autoritaires come la non-convertibilité de Nixon, l’interdiction de posséder de l’or édictée par Roosevelt, l’invention du greenback à cours forcé (Lincoln). Et si un président venait à réduire le déficit drastiquement, cela ne changerait pas les habitudes des américains. Qui se défendent, d’ailleurs : en France on est trop attaché à l’héritage et au soutien financier des parents. Aux USA on s’efforce de donner une bonne éducation, puis l’enfant se débrouille. Et les parents dépensent ! Après tout, ils ont trimé pour...
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération