En réponse à :
L’analyse la plus complète et aussi la plus pertinente de mon point de vue sur le cas grec, et ai delà, sur la finance l’Euroland et la « science économique », c’est encore Frédéric Lordon :
Euro, terminus ? jeudi 24 mai 2012, par Frédéric Lordon : « Parce qu’elle a oublié ce qu’elle devait être — une économie politique — la science économique de l’ajustement structurel, intrinsèquement fausse au demeurant car, même le peuple applaudissant l’austérité, jamais elle ne parviendrait à ses fins, la « science économique », donc, finit par chuter sur ses propres impensés : il y a des populations, il y a de la politique, et un beau jour le peuple dit non. La panique européenne présente est l’autre nom du retour du peuple, l’oublié qui se rappelle au bon souvenir de la Construction, laquelle en toute innocence avait fait l’impasse sur lui, le gouvernement, c’est bien connu, étant tellement plus simple sans l’importune présence des gouverné »
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