Quand on voit les conditions d’élevage et en résultat, la qualité lamentable de la quasi totalité de la production de ce groupe, on se demande comment des hommes, sensés être des professionnels et avoir un minimum d’amour propre, on pu accepter de travailler de la sorte.
Aujourd’hui, ça ne marche plus... et bien je n’irai pas les plaindre. Et j’espère cependant que la filière sera se reconstruire rapidement, que ceux qui n’étaient pas décideurs mais à qui ce système s’imposait retrouvent un emploi, mais cette fois-ci dans des exploitations durables et promouvant la qualité au meilleur prix possible.
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