Oh, Monsieur Voltaire, vous vous fourvoyer en en m’affublant d’une lutte utopiste mondialiste.
Je m’exprimais d’une façon globale à propos d’une question globale, mais reconnaissez, tout de même, que si NOUS allions mieux, cela voudrait dire que le reste du Monde va mieux et que nos responsables politiques auraient enfin compris quelque chose de simple et de fondamental.
Mais, ne croyez pas, Mr Voltaire, j’ai bien conscience de l’état de notre agriculture et de notre élevage. Nos belles vaches, jadis, broutaient dans les champs au soleil. Nos poulets picoraient dans les champs au soleil. Nos cochons se roulaient dans la boue au soleil............Et, maintenant ils bouffent des farines bourrées d’hormones enfermées dans des cages sans soleil.
Alors, ce genre d’élevage en cage et l’Allemagne qui nous dépasse en production........Je m’en fout. Moi, ce que je voudrai c’est un élevage et une culture comme on avait avant. Moi, ce que je voudrai c’est que l’on puisse dépasser les autres par notre qualité, cette qualité qui faisait notre économie.
Merci pour la lettre de Voltaire.