La beauté comme la laideur, comme le chaud et le froid, sont d’ordre identique, subjectif. La laideur est fonction de celui qui joue sur le curseur de la beauté. On défini de beauté ce qui plaît et de laideur ce qui déplaît, mais entre eux, comme entre le chaud et le froid, il existe un degré d’indifférence, tout conventionnel, le zéro. Mais là, à l’encontre du zéro thermométrique, le zéro callimétrique ne peut être fixé, même par une convention. Il varie d’individu à individu, entraînant avec lui toute la série des degrés. L’un trouve beau ce que l’autre trouve laid, comme le climat de Toulouse peut paraître chaud à un esquimau et froid à un africain.
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