@L’auteur, vous dites : « Sans verser dans la superstition, il faut probablement y voir la conséquence psychosomatique du remords qui doit ronger intérieurement tous ces responsables européistes grecs. »
De la part d’un apolitique convaincu : Passé un certain niveau en politique, je doute qu’il y ait un quelconque « remords ». Pour qu’il y ait remords, encore faudrait-il qu’il reste une conscience, une éthique. Non, de somatique il peut y avoir les effets de la « peur », pour soi-même et son entourage, de récolter rapidement les fruits de leur collaboration avec le diktat des financiers. Je me souviens d’un précédent règlement de comptes, lorsqu’un député grec s’était fait violemment frappé par des manifestants.
Disons simplement que ces politiciens sont au mauvais endroit, au mauvais moment. Mais c’est eux qui en ont décidé ainsi. La politique va devenir un métier à hauts risques..