L’homme est un animal. Et si l’envie de posséder une femme était inscrit dans les gênes (la transmission de son ADN) et plus ou moins bien réprimé par l’environnement social et l’éducation ? Le control social doit être beaucoup plus facile dans une tribu ou un petit village (y a-t-il des statistiques en fonction de la taille de la ville ?) Les violeurs ne seraient donc pas des malades mentaux, à psychiatriser, mais simplement le reflet de l’inadaptation de l’homme à vivre dans une société où il cotoie 100 femmes par jour, ce qui lui fait péter les plombs.
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