A travers cet article je dénonce définitivement tous ces privilégiés qui s’ignorent, ces pauvres imaginaires ne cessant de se palindre de leur sort, se disant victimes de l’insjustice sociale alors qu’ils sont les premiers bénéficiaires de l’opulence et de la justice sociale de notre pays.
Soeur Emmanuelle disait une chose fort juste à propos de nos sociétés de gavés : plus les gens ont accés aux richesses matérielles, plus ils se plaignent de leur sort.
Les gens parlent de la crise, se persuadent d’être pauvres, malheureux, alors qu’ils jouissent d’un niveau de vie élevé et confortable même avec 800 euros mensuels. Malheureusement l’habituide de l’opulence a pourri les mentalités.
Vivre sans stéléphone portable ou sans partir en vacances et sans cadeaux de Noël, que je sache n’est pas une calamité. Cette société infantilisée a besoin d’une bonne fessée izarrienne !
Sur ce, je pars faire mon vélo, ensuite j’irai manger au restaurant indien (véridique). Même avec 670 euros mensuels j’ai les moyens d’aller au restaurant (huit euros le repas du midi, copieux et délicieux). Je suis un privilégié. Avec le double de mes revenus, certains se persuaderaient encore d’être des pauvres !
Raphaël Zacharie de IZARRA
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