Curieusement - hygiéniquement -
personne ne parle de ces heures supplémentaires très bien payées :
1) le travail au noir. Les artisans prêtent à leurs employés le matos très pro pour bosser au black samedi-dimanche. Les pavillons construits, aménagés avec factures normales doivent être l’exception. Je connais ainsi le cas d’un platrier-carrelleur .
sa maison, deux « maisons de rapports », puis les bicoques des gosses.....
Au troisième et dernier à 49 ans son coeur a lâché....
Sa veuve n’a pas eu grand mal pour se remarier
2) je m’attendai que les SEL fleurissent à chaque coin de rues
ça marche très bien en Bavière
pourquoi pas chez nous ?
d’autres entrées « clandestines » pour la paix des familles et la paix des quartiers ?
nb : ce travail clandestin ne touche pas le corps professeral :
si ce n’est de la production artistique à vendre ( dont les confitures.)
ils sont dans la brocante
d’autres sont spécialisés dans la gestion des Associations
tremplin par excellence pour un jour touiller dans la Politique des Grands.
conclusion :
Kesako du « travail clandestin » du black. Quelle importance de cette économie ?
Qui fait quoi ? Qui tolère ?
Dealers - revendeurs et pas que la drogue. De vrais circuits parallèles..... pour certains produits et pour certains services ( à louer)
Aux Amériques, chacun a désormais ses deux-trois boulots, même les enfants doivent contribuer au budget familial. Eles vieux- les gris- mettent la main à la pâte.
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération