Le volume des richesses est insuffisamment distribué depuis des années, avec d’un côté des parts colossales qui vont vers l’évasion fiscale, et de l’autre une réduction des salaires ou une trop faible hausse par rapport aux richesses (proportionnelles) créées.
Le rythme du coût de l’inflation ne
suit pas la hausse des salaires en fonction de l’augmentation
(proportionnelle) des richesses. Ce qui est un indice de prolongement
de la pauvreté, et va précariser la société à court-moyen-long
terme, puisque de toute façon le volume des revenus se réduit avec
le temps, alors que les richesses se développent.
Une réduction du volume des richesses équivaut de facto à une baisse générale du niveau de vie, alors qu’un niveau des richesses mieux réparties socialement permets de vivre convenablement, et améliorer le vivre-ensemble. C’est la répartition financière qui absente car elle est considérée comme un frein au developpement, alors qu’elle permets de créer une cohésion sociale.
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