alain : personne ne dit le contraire, en tout cas surtout pas moi ; il y a des tas de paysans qui sont victimes du système ; il faut dire qu’au début des années quatre-vingt, ils n’avaient aucune raison de se méfier : des propositions pour améliorer ton niveau de vie, ça ne se refuse pas ! mais ce fut un engrenage dont certains se sont sortis : le début du bio ( et non pas, et je suis d’accord avec lui, comme le souligne l’auteur, le bio d’aujourd’hui), Nature et Progrès, Terres de liens qui fait un travail formidable au niveau du foncier, Kokopelli pour les semences, et je ne parle pas des centaines et des centaines d’autres qui, sans publicité ni dénomination, travaillent leurs vignes, leurs jardins, leurs céréales, légumineuses, qui élèvent leurs poules, leurs porcs de manière traditionnelle, consciente.
Mais plein d’autres ne s’en sont pas sortis. Chez moi aujourd’hui,la plupart des viticulteurs boudent les désherbants... La conscience avance, il faut l’encourager. Le coup de gueule, c’est je crois, le fait de quelqu’un qui ne veut pas croire qu’il n’est pas seul. Mr Tarrier n’est pas le dernier des Mohicans et s’il daigne redescendre chez les hommes, il pourra certainement être utile ! Pousser des coups de gueule, c’est nécessaire au début d’une prise de conscience ; aujourd’hui celle-ci est bien avancée : il faut agir.
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